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Crédits
Conception : N. Aït Chrif, B. Deruelle,
S. Michonneau, L. Artiaga, J-L Leleu,
F. Passera, A. Hetzog, B. Robert, P. Dogliani, G. Papioannou, A. Audeval
Mise en oeuvre, programmation :
N. Aït Chrif
Direction de projet, graphisme, ergonomie : A. Audeval
Une base de données, comment et pourquoi ?
L’objectif de la BDD est le suivant : la réalisation d’une typologie historique des usages des ruines de guerre. La question centrale pourrait être : comment une société fait-elle une ruine ?
Le principe retenu est celui d’une base d’analyse scientifique fondée sur des échantillons réduits - une 40a de sites pour les 4 régions étudiées - centrée sur les XIXe-XXe siècles. Nous ne visons pas l’exhaustivité : la base doit être efficace compte tenu de la durée relativement réduite du programme : 4 ans. Mais elle doit pouvoir connaître des développements ultérieurs qui toucheront d’autres régions et d’autres pays.
Autre principe, la base devrait être surtout à finalité documentaire plus que statistique, même si son exploitation par des requêtes sophistiquées permettra des comparaisons, des statistiques, des chronologies historiques, etc.
La base en bref
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Élaborée depuis le début du projet, la base de donnée est lancée en octobre 2021.
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Elle comprend deux interfaces, une à destination du grand pub-lic, l'autre pour les scientifiques.
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Les scientifiques peuvent nourrir la base mais également effectuer des recherches et des calculs statistiques sur l'ensemble de données recueillies.
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Le grand public peut interroger la base pour identifier des ruines
Église de Becquigny. © Mathilde Greuet
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